AC/DC, le groupe australien légendaire, nous a offert de nombreux hymnes rock, est-il besoin de le préciser ? Parmi eux, « Thunderstruck » occupe une place particulière. Cette chanson, écrite par les frères Young, Angus et Malcolm, est un incontournable du groupe. Et la version qui ouvre le live à Donington, on en parle ?
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Les guitares et amplis sur Thunderstruck
Si vous voulez enregistrer Thunderstruck, voilà le matos qu’il vous faudra :
Et si vous voulez enregistrer Thunderstruck sans trop casser votre tirelire, voilà ce qu’il vous faut :
S’il y a deux amplis dans la sélection, bien entendu un seul suffit, j’ai surtout voulu proposer deux options à différents tarifs.
Le matos et l’histoire plus en détail
On connait l’efficacité clinique d’Angus et Malcolm Young dans leur jeu, mais le son brut et puissant de « Thunderstruck » est également dû au matériel utilisé par les deux frères. Angus Young, oh surprise, joue sur sa Gibson SG, une guitare équipée de micros PAF. Malcolm Young quant à lui, oh surprise (bis), joue sur sa Gretsch Jet Firebird de 1963. Une guitare rouge à l’origine, qu’il a poncée pour avoir un look naturel, et dont il n’a laissé que le micro chevalet, un TV Jones Power-tron.
Les deux frères Young poussent leur son à l’extrême grâce à des amplificateurs Marshall 1959 Super Lead Plexi. Là encore c’est du classic ACDC : c’est le volume qui fait qu’il y a de l’overdrive. Pas d’effet, pas de pédale, rien.
L’histoire derrière « Thunderstruck » est assez intriguante. A priori Angus Young aurait eu l’idée suite à un éclair qui aurait frappé un avion en vol dans lequel il était, l’avion se retrouvant ensuite à deux doigts d’un crash énorme. La vérité est toute autre, Angus expérimentait avec sa guitare, l’a joué à Malcolm et ce dernier a dit « hey j’ai une bonne idée de rythme qui irait bien avec ça ! » Et voilà. Pour le titre « Thunderstruck », il fallait coller à l’esprit AC/DC. Un titre court, percutant, qui implique la notion de puissance. Et « Thunderstruck », ça collait bien.