Johnny Ramone, figure conservatrice du punk, n’a jamais apprécié l’image anarchique et chaotique des Sex Pistols, qu’il trouvait excessifs. Pour lui, Sid Vicious et ses frasques ne représentaient pas ce que devait être le punk.
Cette rivalité a contribué à créer deux écoles : le punk à l’américaine des Ramones et le punk anglais des Sex Pistols. À chacun sa version !